Bonnet de 
la liberté

Révolution Française

L'Esprit des Lumières et de la Révolution 2012-2013   Séminaire

Groupe de travail créé par Marc Belissa, Yannick Bosc, Françoise Brunel, Marc Deleplace, Florence Gauthier, Jacques Guilhaumou, Fabien Marius-Hatchi, Sophie Wahnich.
Le séminaire de cette année, animé par Marc Belissa, Yannick Bosc et Florence Gauthier est organisé autour de trois séances de trois heures avec deux intervenants. La première sera consacrée à l'émeute et mettra en particulier l'accent sur la relation des historiens de la Révolution française au présent. La deuxième aura pour objectif de croiser la Révolution française et les problématiques d'autres sciences sociales, en l'occurrence les sciences économiques, autour de la dette. Enfin la dernière séance proposera deux synthèses thématiques sur les enjeux épistémologiques des travaux de ce séminaire.

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L’œuvre de Marc Bloch dévoyée   Actuel

Par Suzette Bloch Journaliste, petite-fille de Marc Bloch

A la lecture du Figaro Histoire numéro 4, mes cheveux se sont dressés sur la tête. Marc Bloch, le grand historien qui a payé de sa vie son engagement dans la résistance contre les nazis, y est mis sur le même plan que le maurassien pro-mussolinien et antisémite Jacques Bainville, membre de l’Action française, journal de l’ultradroite monarchiste. Ce n’est pas la première fois que l’œuvre à portée universelle et la vie irréprochable de Marc Bloch sont récupérées pour tenter de rendre vertueuse une idéologie douteuse qui prône le retour à la préférence nationale. Nicolas Sarkozy, épaulé de ses conseillers, le souverainiste Henri Guaino et l’extrême droitiste Patrick Buisson, était un habitué du genre. En décembre 2009, avec l’historien Nicolas Offenstadt, j’avais tapé du poing sur la table, dans une tribune au Monde intitulée «M. Sarkozy, laissez Marc Bloch tranquille».

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Humanité de l’insurrection : Paris (germinal – prairial, an III), Londres (août 2011)   Actuel

Par Déborah Cohen, Telemme-Université d'Aix-Marseille 1

Il y a bien sûr l’émeute, le moment de l’action, de la violence collective, des images fortes que retiennent les médias et l’histoire, la Convention envahie, la tête au bout d’une pique du représentant Féraud, les vitrines brisées, les marchandises emportées, tenues à pleins bras par des gamins ensanglantés. À rester le regard rivé à ces clichés, on risque de ne pas comprendre, de se figer dans la sidération de ce qui paraît survenir en toute absurdité. Il faudrait sans doute regarder de plus près le déroulement exact de l’émeute, être certains des conditions exactes de survenue de la violence, être certains de l’ampleur prétendue des pillages (un jeune homme de 23 ans a ainsi été condamné à six mois de prison pour participation à une émeute dans laquelle il ne s’est saisi que d’une bouteille d’eau minérale, un jeune garçon de 11 ans a été condamné pour le vol d’une petite poubelle). Contre les visions issues d’une anthropologie pessimiste, réduisant l’homme à des passions mauvaises et l’émeutier à la violence d’une bête, il s’agira ici de contribuer au travail de requalification par le sens auquel se livre bien des sociologues, historiens et quelques journalistes. Il s’agira de rendre à l’insurrection sa part d’humanité.

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Thomas Paine et le revenu de base   Entretiens

Sur Monnaie libre, "le podcast qui décrypte les codes des systèmes monétaires". Présentation : "Dans cet épisode Monnaie Libre reçoit l’historien Yannick Bosc spécialiste de la Révolution Française qui vient nous parler de Thomas Paine, né en 1737 mort en 1809, journaliste, politique, né Anglais, révolutionnaire Américain et Français. Thomas Paine devient célèbre en Amérique par la publication de « common sense » (sens commun) puis en France aussi par son « rights of man » (Droits de l’Homme). Enfin, dès 1795 il pense le revenu de base, démonstrations calculatoires à l’appui, dans un de ses ouvrages majeurs « Agrarian Justice » (Justice Agraire) qui se situe en droite ligne de la clause Lockéenne dans la recherche d’une définition d’un droit de propriété compatible avec les libertés individuelles et pour Paine lié inconditionnellement à la citoyenneté et à l’expression politique."

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Mably, moraliste et politique   En ligne

Sur le site catalan La Carmagnole, lien vers l'ouvrage de Vladimir Ivanovich Guerrier, L'abbé de Mably, moraliste et politique. Étude sur la doctrine morale du jacobinisme puritain et sur le développement de l'esprit républicain au XVIIIe siècle, Moscou, Paris, F. Vieweg, 1886. Extrait :

Parmi les écrivains illustres du XVIIIe siècle, il n'y en a qu'un seul que notre époque ait presque totalement et bien injustement oublié : c'est l'abbé de Mably, dont l'année dernière nous rappelle le souvenir par la date commémorative de sa mort. L'histoire nous offre peu d'exemples d'un contraste aussi frappant dans la destinée d'un écrivain : une indifférence presque dédaigneuse a rapidement suivi la réputation et la gloire exagérées dont il a joui de son temps. Voici en quels termes l'abbé Brizard en faisait l'éloge, trois ans après la mort de son ami, devant l'Académie des Inscriptions et Belles Lettres: "Pendant quinze siècles une nuit épaisse étendit son voile sur la nature entière ; toutes les lumières furent éteintes; on corrompit les sources de la morale ; on honora du nom de politique l'art d'asservir et de tromper les hommes ; on réduisit en maximes cet art funeste et des écrivains pervers enseignèrent aux ambitieux à être injustes par principe et perfides par méthode ; la vertu ne fut plus qu'un vain nom et les mœurs, tombées dans l'oubli, parurent un sujet de mépris et de ridicule."

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La Révolution française d'Albert Mathiez   Annonces

Albert Mathiez La Révolution française

Albert Mathiez, La Révolution française, Paris, Bartillat, 2012, 658 p. Introduction de Yannick Bosc et Florence Gauthier.
Cette réédition rassemble en un seul volume les trois parties de l'ouvrage publiées entre 1922 et 1927 : La Chute de la royauté ; La Gironde et la Montagne ; La Terreur. Pour la première fois,
La Révolution française est accompagnée d'un index, d'une chronologie et d'un appareil critique rappelant l'oeuvre et la vie d'Albert Mathiez. Nous en proposons le premier chapitre consacré à "La crise de l'Ancien Régime".

Les révolutions, les véritables, celles qui ne se bornent pas à chan­ger les formes politiques et le personnel gouvernemental, mais qui transforment les institutions et déplacent la propriété, cheminent longtemps invisibles avant d’éclater au grand jour sous l’effet de quelques circonstances fortuites. La Révolution française, qui surprit, par sa soudaineté irrésistible, ceux qui en furent les auteurs et les bénéficiaires comme ceux qui en furent les victimes, s’est préparée lentement pendant un siècle et plus. Elle sortit du divorce, chaque jour plus profond, entre les réalités et les lois, entre les ins­titutions et les mœurs, entre la lettre et l’esprit.
Les producteurs, sur qui reposait la vie de la société, accroissaient chaque jour leur puissance, mais le travail restait une tare aux termes du code. On était noble dans la mesure où on était inutile. La naissance et l’oisiveté conféraient des privilèges qui devenaient de plus en plus insupportables à ceux qui créaient et détenaient les richesses. En théorie le monarque, représentant de Dieu sur la terre, était absolu. Sa volonté était la loi. Lex Rex. En fait il ne pouvait plus se faire obéir même de ses fonctionnaires immédiats. Il agissait si mollement qu’il semblait douter lui-même de ses droits. Au-dessus de lui planait un pouvoir nouveau et anonyme, l’opinion, qui minait l’ordre établi dans le respect des hommes.

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La Carmagnole   Brèves

Il fut un temps où l'un des représentants emblématiques de l'émigration économique chantait la Carmagnole. C'était en 1967, dans Valmy, un documentaire en trois parties d'Abel Gance et Jean Chérasse consacré à la naissance de la République.

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La Révolution française : un événement de la raison sensible (1787-1799)   Annonces

La Révolution française : un événement de la raison sensible

Avant propos, chapitre 3 et table des matières de l'ouvrage de Sophie Wahnich, La Révolution française. Un événement de la raison sensible, 1787-1799, Hachette Supérieur, 2012.

L’histoire de la Révolution française depuis le bicentenaire semblait vouée à la commémoration et à son calendrier. La revisiter permettait de se remémorer origines, fondements, et errements des démocraties naissantes. Mais, selon les termes de Claude Levi-Strauss, elle pouvait apparaître comme relevant d’une fonction mythique. Elle était une histoire révolue ou froide, désactivée.
Or les fortes turbulences financières et sociales qui, depuis au moins 2008, déstabilisent les mondes occidentaux endettés donnent à la question révolutionnaire une nouvelle actualité. Elle peut redevenir cette histoire chaude dont nous aurions besoin pour retrouver une compétence imaginative. Un manuel d’histoire de la Révolution française ne doit plus seulement conduire à déambuler dans le foisonnement des vestiges patrimoniaux, mais bien à comprendre comment nos grands ancêtres peuvent nous aider à faire face aux incertitudes du présent avec plus de lucidité, de pertinence réflexive et de courage, en un mot de civisme. La recherche la plus actuelle a remis à l’honneur la dimension sensible des phénomènes politiques : émotions publiques, rituels d’apaisement ou de transmission, sacralité de la loi, valeur des mots d’esprit et de toute compétence discursive habitée des nouveaux sentiments ou sensibilités politiques.

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Les néoconservateurs à la française   Annonces

Les néoconservateurs à la française

Nous publions ici un résumé, la table des matières et des extraits de l'ouvrage de Christine Fauré, directrice de recherche émérite au CNRS, Les néoconservateurs à la française, Chryséis éditions, distribution Amazon/kindle, 133 p.

Résumé : Depuis plus de vingt cinq ans en France, des néoconservateurs s’en prennent à toute radicalité philosophique, à tout esprit de réforme sociale. Dans le secret des cénacles, puis dans des réseaux mieux structurés, au titre d’une démocratie apaisée, ils rejettent toute tentative de modifier l’ordre existant, douloureux pour le plus grand nombre ; ils tirent leur exemple des penseurs qui étaient en leur temps contre-révolutionnaires. Ils veulent mettre un point final à une Révolution française pourvoyeuse de messages politiques. La pensée conservatrice contemporaine se réfère unanimement à Tocqueville, nouveau maître à penser, lui même contempteur de la Révolution de 1848 et partisan de la colonisation de l’Algérie, abuse du concept de totalitarisme pour effrayer. Elle cible des périodes historiques et exprime un rejet quasi militant des événements de mai 68. Elle étouffe un désir de justice : pourtant c’est dans le sillon de cette révolte qui embrasa l’ensemble de la société française que Béate Klarsfeld lance en 1969 sa chasse aux nazis, privilégiant l’action directe, préalable à la réouverture en 1970 des procès de la collaboration française. Ces servants d’un nouveau culte ont pour nom dans la lignée de Raymond Aron : Luc Ferry, Pierre Nora, Marcel Gauchet, Stéphane Courtois…

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Le républicanisme commercial d'Adam Smith   Entretiens

Entretien en espagnol avec David Casassas, à propos de son livre, La ciudad en llamas. La vigencia del republicanismo comercial de Adam Smith, Montesinos, Barcelona, 2010.

Présentation de l'ouvrage : L’œuvre d'Adam Smith ouvre des pistes qui permettent de saisir le caractère fondamentalement propriétariste de la tradition intellectuelle et politique du républicanisme dans laquelle il s'inscrit, une tradition qui relie la réflexion d'Aristote et de Cicéron à celle de Machiavel et, sur son versant « Atlantique », à celle d'Harrington, Milton et à l'école écossaise. Les préoccupations centrales de l'approche smithienne concernent les domaines de la production et des échanges, les questions de l'indépendance fondée sur le travail personnel et la possibilité de constituer des liens sociaux au sein de communautés exemptes de rapports de domination. La ciudad en llamas montre l'actualité du républicanisme commercial d'Adam Smith, un projet de civilisation établi sur le contrôle et le libre accès aux moyens matériels de notre existence. L’œuvre de Smith, comme celle d'autres représentants des Lumières écossaises, rejoint ceux qui, à la fin de l'Ancien Régime et à l'aube de la «grande transformation» qui conduira au capitalisme contemporain, inscrivent dans le républicanisme la tradition radicale du droit naturel, une tradition qui se mobilise contre toute forme de tyrannie ou d'oppression, qu'elle vienne des anciennes formes d'exploitation ou de l'industrialisation naissante. Cette dynamique contribue à la formation d'un univers intellectuel et scientifique (positiviste, normatif et épistémologique) dont le développement aux XIXe et XXe siècles, engendrera les grands projets émancipateurs qui restent valables aujourd'hui. Ce livre vise à montrer la nature et la portée de cette aventure théorique et politique et, plus généralement, à souligner que la «modernité» est un processus tragique d'une grande complexité, traversé par des luttes acharnées qui sont aussi intellectuelles.

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1792 : Entrer en République   Annonces

ATTENTION : en raison du grand nombre d’inscrits au colloque, la journée du 21 septembre ne se tiendra pas au Centre Panthéon de l’Université Paris I, mais dans les Grands Salons de la Sorbonne, au 47 rue des écoles. Se munir du carton d’invitation à télécharger.

Le programme ANR Actapol (Clermont 2-Lille 3-Rouen), l’Institut d’Histoire de la Révolution française (Paris 1) et la Société des études robespierristes organisent les 20 et 21 septembre prochains, à Paris, un colloque international intitulé « 1792 : Entrer en République ». On trouvera le programme de ce colloque, l'affiche qui l'annonce et le carton d'invitation sur le site de la Société des études robespierristes.

Au terme de cette rencontre scientifique, le 21 septembre, à 17h00, au Panthéon, la Société des études robespierristes sera ensuite à l’initiative d’une cérémonie publique d’hommage pour célébrer le 220ème anniversaire de la République.

Inscrivez-vous pour participer à ces manifestations.

Révolution, Révolutions 89/68   Entretiens

Entretien avec Guillaume Mazeau sur le blog Samarra. Extrait de la présentation :
"Les révolutions animent toutes les passions" disait Jean Jaurès en paraphrasant Georges Danton. En effet. Alors que la Révolution Française peine à sortir de l'ombre depuis 1989, que les héritages de 68 sont régulièrement villipendés dans le discours public comme autant de signes de la dégénérescence de nos sociétés, les récentes révolutions tunisienne et égyptienne ont suscité autant d'enthousiasme que de fascination. Honnie ou vénérée, rejetée pour ses violences, mais souhaitée pour ses capacités à transfromer les ordres anciens, la révolution est un objet d'histoire vivant, complexe et, de ce fait, passionnant."

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Héros et Héroïnes de la Révolution française   Annonces

Nous reproduisons ici l'introduction et la table des matières des actes d'un colloque publié en 2012 par le CTHS sous la direction de Serge Bianchi.

Héros et Héroïnes de la Révolution française

« Aux grands hommes, la patrie reconnaissante ». Cette inscription sur le fronton du Panthéon scelle le lien essentiel que la Révolution française a noué avec les personnages qu’elle a voulu célébrer à l’intérieur de ce monu ment singulier, église devenue temple de la mémoire, en avril 1791, pour l’éternité… Mais s’agit-il de « grands hommes » ou de « héros » ? Ce débat, qui a passionné les intellectuels du siècle des Lumières, prend toute sa dimension à l’énoncé des panthéonisés de la décennie révolutionnaire, éclairant ainsi le processus de la distinction nationale : Mirabeau, le législateur, le 4 avril 1791 ; Voltaire, le philosophe, le 11 juillet 1791 ; Le Peletier, le conven tionnel, martyr de la Liberté, en janvier 1793 ; Bara, l’enfant héroïque, le 28 juillet 1794 ? Les marins du Vengeur ; Jean-Jacques Rousseau, l’autre philosophe ; Marat, martyr de la Liberté, en août 1794… Des philosophes, des hommes politiques, des militaires : les législateurs successifs n’ont donc pas tranché, décrètent l’immortalité (?) dans l’urgence, jusqu’à « dépan théoniser » brutalement Mirabeau, puis Marat. Ainsi, le Panthéon, lieu de mémoire contesté par d’autres familles politiques, tour à tour église et monument laïque mémoriel, ne révèle qu’une partie des enjeux de la « fabrique » des héros et des grands hommes, au temps de la Révolution française, temps fondateur s’il en fut, marqué par tant d’apothéoses et d’honneurs posthumes.

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Figures d'esclaves   Annonces

Eric Saunier Figures d'esclaves

Nous publions ici l'introduction d'Eric Saunier à l'ouvrage qu'il a dirigé : Figures d'esclaves : présences, paroles, représentations, Rouen, PUHR, 2012. 312 p.

Depuis plus de dix ans, dans la continuité des nombreuses manifestations scientifiques qui ont suivi en 1998 la célébration des 150 ans du décret d’abolition du 23 avril 1848, puis de l’impulsion éditoriale provoquée, nolens volens, par le vote de la loi du 21 mai 2001 reconnaissant les traites transatlantique et indienne et l’esclavage comme crimes contre l’humanité, il est donné d’assister à une croissance régulière des travaux scientifiques sur l’histoire de ces traites, de l’esclavage et de leurs abolitions.

Attentifs à revisiter, notamment, l’étude des fondements économiques du système esclavagiste qu’explora Eric Williams (1) il y a plus d’un demi-siècle et des questions essentielles qui, comme celle de la variété des processus ayant conduit à sortir de l’esclavage, ont été trop longtemps ignorées (2), de plus en plus soucieux également d’explorer le fait esclavagiste dans la perspective comparative qu’impose cette histoire qui concerna trois continents durant plus de trois siècles, tous ces travaux pallient progressivement les lacunes de l’historiographie française dans le domaine de l’histoire de l’esclavage. Celles-ci sont dues aux effets conjugués du long discrédit dont souffrit l’histoire politique dans laquelle s’inscrit cette histoire, du caractère abrasif revêtu par son étude dans le contexte d’une décolonisation récente (3) et de la faible attention portée par la recherche française à l’histoire interculturelle (4).

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Le "Métronome" contre la République   Actuel

Dépêche AFP - 5 juillet 2012

Le "Métronome" de Lorant Deutsch, succès de librairie qui revisite l'histoire de la capitale au gré du métro, est "orienté idéologiquement", a déclaré le groupe PCF-parti de Gauche du Conseil de Paris, qui veut que la Ville de Paris cesse d'en faire la promotion.
Le groupe présentera un voeu en ce sens lors de la séance du Conseil de Paris qui se tiendra lundi, mardi et mercredi prochain.
L'ouvrage a été vendu "à près de 2 millions d'exemplaires" et a bénéficié d'une "forte promotion médiatique", souligne le voeu porté par Alexis Corbière, précisant que le comédien "a même été invité dans des écoles parisiennes où il a proposé des conférences basées sur ses travaux" et le maire PS Bertrand Delanoë l'a décoré de la médaille Vermeille de la Ville.

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