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Bonnet de 
la liberté

Révolution Française

Toussaint Louverture. Le combat des aigles ?   Réplique

Par Florence Gauthier, ICT-Paris Diderot Paris 7

A propos de Toussaint Louverture. Le combat des aigles, téléfilm de Philippe Niang, 2011, 2h60, diffusé sur France 2, les 14 et 15 février 2012

Le Coup d’état du 18 brumaire-9 novembre 1799 livrait le gouvernement de la France au général Bonaparte qui, après l’échec de l’expédition d’Egypte, tentait d’initier un nouvel empire colonial français en Amérique : il lorgnait vers la Louisiane en passant par la reconquête de l’ancienne colonie de Saint-Domingue. C’est dire qu’avec Bonaparte, le parti colonial esclavagiste revenait au pouvoir.

Toussaint Louverture, qui avait dirigé, depuis 1794, la guerre d’indépendance de la colonie de Saint-Domingue contre les colons esclavagistes et leurs alliés, comprit le danger et s’y prépara. En 1801, il promulgua une Constitution, qui reconnaissait son pouvoir de gouverneur à vie, déclarait l’interdiction de l’esclavage, instaurait l’indépendance et proposait une alliance privilégiée avec l’ancienne métropole France sur un pied d’égalité entre les deux peuples. Il établissait son pouvoir personnel et despotique. Il proposait aussi une sortie du colonialisme très remarquable.

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2012: un cahier de doléances   Actuel

Chaque semaine, jusqu'à la présidentielle, Mediapart et le collectif Luce Faber proposent trois doléances filmées.

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Mythologies contemporaines : Révolution française et cultures populaires dans le monde aujourd’hui   Annonces

Colloque international interdisciplinaire, Musée de la Révolution française – Domaine de Vizille, Université Stendhal-Grenoble 3 – UMR LIRE-CNRS
Mercredi 21, jeudi 22 et vendredi 23 mars 2012
Organisé par Alain Chevalier et Martial Poirson

« Sans ce drapé extravagant, propre à tous les grands révolutionnaires, (…) la Révolution n’aurait pu être cet événement mythique qui a fécondé l’Histoire et toute idée de la Révolution. L’écriture révolutionnaire fut comme l’entéléchie de la légende révolutionnaire : elle intimidait et imposait une consécration civique du Sang » (1). Rares sont les événements historiques ayant, au point de la Révolution française, engendré leur propre mythologie spontanée, conditionnant pour les siècles qui ont suivi sa perception fantasmatique et projective qui est encore dans une large mesure la nôtre aujourd’hui. Scène primitive à l’efficacité rituelle et symbolique inégalée ; mythe fondateur à vocation d’édification nationale et de légitimation institutionnelle ; fiction patrimoniale dont l’héritage nous est transmis en partage ; matrice d’un consensus qui n’est pas toujours unanime sur les valeurs démocratiques et républicaines ; source d’inspiration d’une production artistique tantôt critique et subversive, tantôt conformiste et consensuelle ; matière dont s’emparent les cultures populaires à travers toutes sortes de représentations et surtout, de médiations symboliques, parfois inattendues, la Révolution française n’a peut-être jamais été aussi présente qu’aujourd’hui, à la fois dans le discours, en régime de « mythocratie », et dans les objets, qui fonctionnent comme un système de signes, autrement dit, comme un « mythe moderne », au sens de Roland Barthes (2).

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Sur Robespierre. Lettre ouverte à la rédaction d'Historia   Réplique

Par Jacqueline Grimault

Réponse au numéro 777 de la revue Historia de septembre 2011, consacré à "Robespierre, le psychopathe légaliste", et en particulier à l’éditorial de M. Pierre Baron, intitulé « Un cas d’école » et à l’article de Madame Anne Bernet : « Comment il a déshonoré la République ». Cette lettre a été envoyée à Pierre Baron, directeur de la rédaction d’Historia. Il n'y a pas répondu.

Ayant appris que la cellule psychologique d’Historia avait diagnostiqué chez Robespierre une « psychopathie légaliste », j’ai acheté le n°777 de votre revue pour savoir de quoi il retournait : je me suis demandée d’abord s’il fallait en rire ou en pleurer et finalement j’ai pris le parti de vous envoyer ces quelques réflexions. Elles concernent surtout l’éditorial qui donne le ton de quelques articles et celui de tous leurs titres.

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1er janvier 1804, 1er jour de l’Indépendance d’Haïti   En ligne

Le Général en chef au Peuple d’Haïti

Citoyens,

Ce n’est pas assez d’avoir expulsé de votre pays les barbares qui l’ont ensanglanté depuis deux siècles ; ce n’est pas assez d’avoir mis un frein aux factions toujours renaissantes qui se jouaient tour à tour du fantôme de liberté que la France exposait à vos yeux : il faut, par un dernier acte d’autorité nationale, assurer à jamais l’empire de la liberté dans le pays qui nous a vu naître ; il faut ravir au gouvernement inhumain qui tient depuis longtemps nos esprits dans la torpeur la plus humiliante, tout espoir de nous réasservir, il faut enfin vivre indépendants ou mourir.

Indépendance ou la mort … que ces mots sacrés nous rallient, et qu’ils soient le signal des combats et de notre réunion.

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Est-ce ainsi que les hommes vivent ? Cahier de doléances contemporain   Actuel

Luce Faber, Est-ce ainsi que les hommes vivent ?

Extrait de l'ouvrage du collectif Luce Faber, Est-ce ainsi que les hommes vivent ? Cahier de doléances contemporain, Excès-Les prairies ordinaires, 2012. Rencontre avec les éditeurs de ces doléances au Merle moqueur, la libraire du 104, le mercredi 18 janvier à 20h15.

DIGNITE HUMAINE

« IL FAUT QUE VOUS fassiez une cité, c’est-à-dire des citoyens qui soient amis, hospitaliers et frères ». C’était là le vœu de Saint-Just au printemps de l’an II. La Déclaration des droits de 1793 avait alors consacré une humanité une à l’article 3 : « tous les hommes sont égaux de part la nature et devant la loi », le devoir d’assistance aux plus démunis à l’article 21 : « Les secours publics sont une dette sacrée. La société doit la subsistance aux citoyens malheureux, soit en leur procurant du travail, soit en assurant les moyens d’exister à ceux qui sont hors d’état de travailler. » Enfin, Robespierre avait proposé un article additionnel : « Les hommes de tous les pays sont frères et les différents peuples doivent s’entraider selon leur pouvoir comme les citoyens du même État. » Cette manière de reconnaître l’universalité du genre humain fait de semblables plus ou moins fragiles, plus ou moins libres, plus ou moins riches, mais toujours membres de la commune humanité, était une pensée de la dignité humaine. Reconnaître un homme en chacun, même quand la vie l’avait amoindri, fondait la nécessité humanisante d’une société de secours réciproques. Une société non pas du care mais bien de la reconnaissance du même en l’autre, quels que soient l’autre et son degré d’altérité. Les seuls monstres l’étaient pour des raisons politiques, ils étaient ceux qui refusaient d’adhérer à ces principes fondant le lien humain.

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Rousseau, démocratie et participation populaire   Annonces

Le colloque Démocratie et participation populaire, qui clôture le séminaire de philosophie politique "Penser la Transformation", aura lieu du 26 avril 2012 au 27 avril 2012, à l'Université de Montpellier III (salle Camproux, site "route de Mende", Tram St Eloi). Ce colloque consacrera sa majeure partie au tricentenaire de la naissance de Jean-Jacques Rousseau. Cette partie, qui se déroulera jeudi 26 après-midi et vendredi 27 toute la journée, est intitulée "Rousseau et la voix du peuple".

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La Révolution française en seconde : proposition de cours   Enseignement

Par Olivier Coq, Lycée Voillaume, Aulnay-sous-bois

Ce cours utilise une partie des archives Pons qui sont en ligne sur Révolution Française.net.

Dossiers à télécharger en .pdf :
Cours
Méthodologie
Documents 1ère partie
Documents 2ème partie
Documents 3ème partie
Documents 4ème partie

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La guerre contre les valeurs des Lumières   Actuel

Ce texte de Zeev Sternhell, publié en décembre 2010 dans Le Monde diplomatique, est une bonne introduction à son ouvrage sur Les Anti-Lumières (Fayard, 2006, réédition Folio histoire, 2010).

La guerre menée contre les valeurs des Lumières se poursuit avec autant de détermination qu’au cours des deux siècles précédents, car les grandes questions affrontées par les philosophes du XVIIIe siècle demeurent centrales : une société représente-t-elle un corps, un organisme vivant, ou seulement un ensemble de citoyens ? En quoi réside l’identité nationale ? Une communauté nationale se définit-elle en termes politiques et juridiques ou bien en fonction d’une histoire et d’une culture ? Et quel est alors le poids de la religion dans la culture ? Qu’est-ce qui a le plus d’importance dans la vie des hommes : ce qui leur est commun à tous ou ce qui les sépare ? Par ailleurs, le monde tel qu’il existe est-il le seul envisageable ? Un changement de l’ordre social en place constitue-t-il un objectif légitime ou l’assurance d’un désastre ?
Les réponses à ces questions clés mettent évidemment en jeu une conception de l’homme. Pour la pensée politique représentée par le puissant et tenace courant anti-Lumières, l’individu n’a de sens que dans et par la communauté, il n’existe que dans le particulier concret et non dans l’universel abstrait. Il faut donc privilégier ce qui distingue, divise, sépare les hommes : ce qui fait leur identité, irréductible à la seule raison, et bien plus vigoureuse.

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Le sens commun, un concept généralisé. Le revival de la tradition des Lumières et des Révolutions   Recensions

par Jacques Guilhaumou, UMR Triangle, ENS/Université de Lyon

Autour de l'ouvrage de Sophia Rosenfeld, Common Sense. A Political History, Harvard University Press, 2011.

La question très ancienne du sens commun est devenu un objet propre de recherche au sein des sciences humaines et sociales. Cependant il apparaît d'abord que les anthropologues et les sociologues, à l'exemple du dossier de la revue Société (N°89, 2005) sur le sens commun, évitent de reprendre la tradition des Lumières en matière de sens commun, dans la mesure où ils y voient un espace de promotion d'une logique universelle peu compatible avec le principe d'un savoir local présent dans les diverses formes du sens commun au sein de sociétés déterminées. Il s'agit alors de considérer un savoir qui conditionne l'action sociale, qui est organiquement lié à la vie, donc nous renvoie à la compréhension du sujet par lui-même. C'est bien ainsi que toute une tradition de la sociologie compréhensive, située au plus proche d'une phénoménologie de la connaissance sociale, de Dilthey à Simmel, de Weber à Schütz, et de bien d'autres auteurs importants, s'intéresse aux modes de connaissance à la fois théoriques et pratiques de l'action, en partant du principe que l'acteur se doit de comprendre son action. L'acteur en vient ainsi, au-delà du fait même de l'empathie, à construire la propre interprétation de son action au titre de l'esprit objectivé. Dans la lignée de Max Weber, il peut s'agir alors de constituer des idéaux-types, sens commun inclus, au plus près de la manière dont l'acteur comprend l'ensemble des actions pensées par lui-même.

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Robespierre, Terreur et Déclaration des droits de l'homme et du citoyen   En ligne

Par Yannick Bosc, GRHIS-Université de Rouen

Nous avons hérité d'une représentation de Robespierre essentiellement caractérisée par le sang et la violence de la Terreur, cette dernière étant considérée comme le prodrome du totalitarisme stalinien. Pour ses contemporains, Robespierre est au contraire associé aux principes de la Déclaration des droits dont il est « le commentaire vivant » selon Camille Desmoulins.

Qu'un homme puisse incarner à la fois la Terreur et la Déclaration n'a rien de paradoxal pendant la Révolution française. Ainsi, en 1795, une fois Robespierre éliminé et au moment où ses ennemis construisent la figure du « tyran sanguinaire », Jérémy Bentham résume l'opinion dominante en estimant que « le langage de la Terreur » est contenu dans l'article 2 de la Déclaration de 1789 : « le but de toute association politique est la conservation des droits naturels de l'homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l'oppression ». C'est là, pour Bentham et les thermidoriens, le langage de l'anarchie avec lequel il convient de rompre si l'on veut fonder un ordre social sur l'intérêt des possédants sans lequel, estiment-ils, il ne peut exister de prospérité.

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Le républicanisme libéral de Thomas Paine   Etudes

Par Carine Lounissi, Université de Rouen - LARCA Université Paris-Diderot

héritages des républicanismes et république comme utopie

Ce texte a été présenté lors de l'atelier Les héritages des républicanismes et la république comme utopie qui s'est tenu le 27 novembre 2010.

Thomas Paine est souvent décrit comme un auteur – car il n’est pas toujours considéré comme un penseur à part entière – échappant aux catégorisations habituelles. Il n’est pas un père fondateur stricto sensu, car il n’a pas participé à la rédaction de la Constitution de 1787. Bien qu’il envisage très tôt l’Union des Etats américains issus des anciennes colonies britanniques, il n’est pas un « fédéraliste » au sens où ce terme désigne une allégeance politique opposé au camp des jeffersoniens, auquel Paine se rattache. Il n’est pas non plus véritablement un « radical » au sens anglais du terme, le « radicalisme » s’appliquant à un groupe de penseurs souhaitant avant tout démocratiser la monarchie britannique en réformant notamment le système électoral de la Grande-Bretagne, mais n’appelant pas à un renversement de la monarchie pour la plupart d’entre eux. Dans le cadre politique français, Paine n’a été ni un « girondin », bien qu’ayant fréquenté des figures considérées comme « girondines » telles que Condorcet ou Brissot, ni un thermidorien, car il a critiqué la Constitution de l’an III avant de s’y rallier par la suite. Comme le suggère le titre de cette présentation, Paine n’est pas non plus un « républicain » au sens pocockien du terme. Il redéfinit une forme de républicanisme autre fondée sur une conception libérale de l’Etat et c’est ce que je souhaite montrer ici. La pensée politique de Paine est en effet un anti-monarchisme qui rejette toute forme héréditaire de gouvernement. Le contrat politique qu’il propose comme fondement de l'Etat est à la fois libéral et républicain (I), ce qui conduit Paine à refonder le républicanisme tel qu’il existait au XVIIIe siècle (II), et ce qui nous amène à repenser les catégories de « républicanisme » et de « libéralisme » qui ne doivent pas se concevoir uniquement indépendamment l’une de l’autre (III).

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Révolutions, révolution, 1789-2011   Actuel

Le séminaire de Sophie Wahnich à l'EHESS se tiendra le mardi de 11 h à 13 h (salle 3, RdC, bât. Le France, 190-198 avenue de France 75013 Paris), du 10 janvier 2012 au 29 mai 2012. La séance du 31 janvier se déroulera en salle 1 (même heure, même adresse).

Les révolutions de l'hiver et du printemps 2011 ont remis à l'honneur l'idée comme la pratique révolutionnaires. En prenant appui sur l'analyse précise du moment révolutionnaire français, il s'agira d'interroger dans un rapport passé présent l'actualité comme l'inactualité de cet événement fondateur. L'objectif est de revisiter à la fois les manières d'agir révolutionnaires et la question du statut des analogies en histoire. La plupart des séances tenteront d’aborder la comparaison Révolution française, monde arabe.

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La crise de l'idéologie propriétaire et le retour des communs   Actuel

Entretien avec Benjamin Coriat, économiste au Centre d'Économie Paris Nord-Université Paris 13, sur le site de la revue Contretemps. Extrait :

"L'« idéologie propriétaire », que l'on pourrait aussi appeler « utopie propriétaire », est une des expressions majeures de la pensée libérale actuelle. Ce n'est pas seulement un dispositif théorique, c'est également une instrumentation du droit qui permet de déployer les arguments théoriques en pratiques politiques, économiques et sociales. Cette affirmation idéologique du libéralisme contemporain connaît des expressions multiples. En matière économique la construction repose centralement sur l’idée que les marchés sont autorégulateurs. Ainsi selon la vision qu’elle propage l'efficience ne peut provenir que du libre jeu des marchés. Mais pour cela il est nécessaire qu'un ensemble de droits de propriété privé soient clairement établis et complètement garantis. Ces droits doivent être entiers, c'est-à-dire exclusifs, toutes les autres formes de « droits partagés » étant considérées comme des droits diminués qui font obstacle à l'efficience."

A lire dans Contretemps

Buonarroti. La Conspiration pour l’égalité, dite de Babeuf   En ligne

Par Florence Gauthier, ICT- Université Paris Diderot Paris 7

Philippe Buonarroti naquit à Pise, en 1761, où il fit ses études. Dès sa jeunesse, il fut marqué par l’indépendance de l’île de Corse, qui s’était insurgée contre l’occupation génoise, depuis 1729, sous la direction politique de Paoli père. L’indépendance de la Corse et la Constitution républicaine et démocratique de Pascal Paoli fils, en 1755, fut un grand sujet de débats et d’enthousiasme à cette époque. Cependant en 1768, Gênes vendit, comme une vulgaire marchandise, la Corse au Roi de France qui la conquit manu militari l’année suivante. De nombreux patriotes corses cherchèrent des refuges et Pise fut l’un d’eux. Buonarroti fit partie de ces jeunes républicains qui s’enthousiasmèrent pour cette expérience, il rencontra des réfugiés corses et se lia d’amitié avec l’un d’eux, Christophe Salicetti, de quatre ans son aîné.

Lire la suite de la présentation sur Le Canard Républicain, et lire en .pdf les cinquante premières pages de La Conspiration pour l'égalité, dite de Babeuf de Philippe Buonarroti (1828). Albert Mathiez a estimé qu'elles constituent le « résumé le plus impressionnant et le plus vrai de l’histoire de la Révolution ».

 

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