Bonnet de 
la liberté

Révolution Française

Les formes d'esclavage successives dans le Nouveau Monde   Séminaire

Séminaire L'Esprit des Lumières et de la Révolution du 7 décembre 2023.
Intervention de Florence Gauthier (Paris Diderot) sur Les formes d'esclavage successives
dans le Nouveau Monde. L'exemple des colonies françaises du XVIIe au XIXe siècles.
Pour quelles raisons et quels objectifs, cette succession dans les formes de l'esclavage ?

Sur la pensée politique de Thomas Paine   Entretiens

In collaboration with The Thomas Paine Society UK, the Institute of Intellectual History presents a series of hitherto unaired interviews with leading scholars and politicians on the political thought of Thomas Paine. The interviews were conducted by Ronald H. Blumer between 1992 and 1993:
- The former leader of the British Labour Party Michael Foot (1913-2010) was interviewed about Tom Paine on June 30th 1992 at the bank of the Thames across from the Palace of Westminster.
- E. P. Thompson (1924-1993), the great historian of the English working class, was interviewed in his library at his home in England on July 1, 1992.
- The former Labour MP Tony Benn (1925-2014), who was also an active member of the Fabian Society, was interviewed on July 1st 1992 about Tom Paine and his opposition to the British class system.
- The American historian Isaac Kramnick (1938-2019) was interviewed in 1993 in what seems to be his office at Cornell University, where he arrived in 1972, having received his PhD at Harvard University in 1965.
- Sean Wilentz (b. 1951) is the Sidney and Ruth Lapidus Professor of the American Revolutionary Era at Princeton University, where he has taught since 1979. In 1993, he was interviewed by Ronald H. Blumer at Thomas Paine’s cottage in New Rochelle, New York.
- Carolyn Forché (b. 1950) is an American poet, editor, professor, translator, and human rights advocate. She was interviewed about Tom Paine in 1993.
- Benjamin R. Barber (1939 – 2017) was an American political theorist and author. In 1993, he was interviewed by Ronald H. Blumer.

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"Le Bonnet Rouge" roman de Daniel de Roulet, Héros-Limites, 2023, 154 p.   Annonces

Le roman en prose versifiée ou plus exactement en vers coupés de Daniel de Roulet a pour protaganiste un Genevois, Samuel Bouchaye, dont on suit l'itinéraire révolutionnaire de la Révolution genevoise de 1782 à la Révolution française. Le centre du roman est la mutinerie des soldats suisses du régiment de Châteauvieux à Nancy en août 1790, à la suite de laquelle Samuel et huit de ses compagnons sont condamnés à trente années de bagne pour certains, à la pendaison pour d'autres et à la peine de mort sur la roue pour l'un d'entre eux (André Soret). A la suite de la campagne du club des Jacobins pour leur libération, les condamnés au bagne parcourent la France, bonnet rouge sur la tête et popularisent largement ce couvre-chef, fort ancien symbole de liberté.

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Intérêt général, propriété et république. Deux modèles politiques en conflit   En ligne

Par Yannick Bosc, GRHis - Université de Rouen Normandie

Ce texte a été publié dans la première livraison de la revue EnCommuns.

Jean-Marc Borello, à la tête du Groupe SOS où il organise la marchandisation du monde associatif, a donné comme titre à l’un de ses ouvrages : Pour un capitalisme d’intérêt général. S’il s’inscrit, sans surprise, dans les politiques libérales qui depuis des décennies favorisent la captation du service public (au sens large d’une activité d’intérêt général) par le marché, cet énoncé n’en reste pas moins paradoxal puisqu’il comporte, apparemment, une contradiction : le capitalisme ne renvoie pas à l’intérêt général mais à l’intérêt particulier, alors que l’intérêt général est du ressort du service public et donc de l’État, comme nous sommes habitués à le penser. Or, cela n’a pas toujours été le cas.
L’association de l’intérêt général, de la propriété privée et du profit a été conçue au XVIIIe siècle et s’est développée au sein d’une tradition républicaine dont Condorcet est l’une des figures emblématiques. Condorcet écrit ainsi dans sa Vie de Turgot que « l’intérêt particulier de chacun tend naturellement à se confondre avec l’intérêt commun ; et tandis que la justice rigoureuse oblige de laisser jouir chaque individu de l’exercice le plus libre de sa propriété, le bien général de tous est d’accord avec ce principe de justice ». Face à lui, un autre républicain emblématique, Robespierre, dénonce au contraire le fait que « les riches, les hommes puissants (…) ont restreint à certains objets l’idée générale de propriété (…) ; ils ont nommé leur intérêt particulier l’intérêt général et pour assurer le succès de cette prétention, ils se sont emparés de toute la puissance sociale ». Il existe à cette époque plusieurs manières de penser la république et de comprendre l’intérêt général.

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Aux origines du racisme moderne   Annonces

 Florence Gauthier, Aux origines du racisme moderne

Florence Gauthier, Aux origines du racisme moderne, 1789-1791, Paris, CNRS Éditions, 2024, réédition en poche de L'aristocratie de l'épiderme. Le combat de la Société des Citoyens de Couleur (1789-1791), chez le même éditeur en 2007. Nous proposons ici la recension publiée par Yannick Bosc dans la revue Contretemps, en mars 2011.

La Révolution des droits de l'homme, le préjugé de couleur et la domination coloniale

Afin de saisir les enjeux de l'histoire de Julien Raimond et des libres de couleur qui sont au centre de cet ouvrage de Florence Gauthier, il convient d'emblée d'en situer la perspective : celle des révolutions du droit naturel qui couvrent les deux rives de l'Atlantique et concernent trois continents : l'Europe, l'Amérique et l'Afrique. L'aristocratie de l'épiderme raconte en effet l'un des épisodes essentiels, mais jusqu'alors ignoré, de l'histoire des luttes pour les droits de l'humanité : la dénonciation du préjugé de couleur et de la société coloniale esclavagiste au moment où la Révolution française proclame la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen. Florence Gauthier étudie la construction de ce préjugé de couleur et sa fonction dans les colonies à esclaves. Contrairement au récit standard de l'historiographie qui tend à les séparer, elle montre que la question de l'esclavage pose, dès le XVIIIe siècle le problème de la domination coloniale. Les sources sur lesquelles elle s'appuie la conduisent également à conclure que, pour comprendre les Révolutions de France et de Saint-Domingue, il ne faut pas les dissocier mais les saisir ensemble, dans la dynamique de leurs échanges. En France, les libres de couleur contribuent ainsi à la structuration du côté gauche de l'Assemblée nationale. Face à eux, le combat sans merci du lobby colonial esclavagiste et ségrégationniste pour maintenir sa domination s'inscrit dans une Contre-Révolution dont il porte tous les masques.

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L’Oceana de Harrington et sa réception dans la France des Lumières et de la Révolution   Séminaire

Séminaire L'Esprit des Lumières et de la Révolution du 29 Juin 2023.
Intervention de Myriam-Isabelle Ducrocq (Nanterre – Paris Ouest) sur
L’Oceana de Harrington et sa réception dans la France des Lumières
et de la Révolution : pour une autre vision du républicanisme anglais.

To Begin The World Again : The life of Thomas Paine   Annonces

 To Begin the World Over Again: the Life of Thomas Pain

Pièce de Ian Ruskin. Représentation en anglais, Mercredi 27 mars 2024 à 18h30. Bibliothèque Sainte-Geneviève, Salle de lecture de la Réserve (10, place du Panthéon). Gratuit sur réservation

Présentation sur le site de la Bibliothèque Sainte-Geneviève : "Après plus d’une centaine de représentations et un franc succès aux États-Unis et au Royaume-Uni, To Begin the World Over Again: the Life of Thomas Paine arrive en France au printemps 2024. Dans un seul en scène rythmé, Ian Ruskin met en lumière un personnage clef de l’histoire, Thomas Paine. Père fondateur des États-Unis, ambassadeur des idées des Lumières, ce grand visionnaire défendait à l’époque des idées subversives comme l’abolition de l’esclavage. Raillé, humilié, il échappa de peu à la pendaison en Angleterre, à la guillotine en France, et se vit refuser le droit de vote à son retour en Amérique. La pièce sera suivi d’un temps de questions et réponses avec l’auteur et interprète, ainsi qu’avec la doctorante Lyne Hervey-Passee (université de la Réunion). Ce temps permettra à l’audience de mieux comprendre les liens entre la France et l’Amérique après la Révolution et le rôle de Paine dans l’imprégnation des idées des Lumières de part et d’autre de l’Atlantique."

Le républicanisme de Richard Price   Séminaire

Séminaire L'Esprit des Lumières et de la Révolution du 25 mai 2023.
intervention de Christopher Hamel (Université de Rouen) sur :
Le républicanisme de Richard Price.

L’Encyclopédie de Diderot et d’Alembert, les traites négrières et l’esclavage colonial   Annonces

 Eric Mesnard Encyclopédie

Introduction de l'ouvrage d'Eric Mesnard, L’Encyclopédie de Diderot et d’Alembert, les traites négrières et l’esclavage colonial, Genève, Slatkine, 2023.

Les vingt-huit volumes in-folio de l’Encyclopédie, ou Dictionnaire raisonné des Sciences, des Arts et des Métiers, par une société de gens de lettres, furent publiés entre 1751 et 1772. Pendant ces deux décennies, environ un million six-cent-mille Africains furent embarqués dans des navires négriers dont deux-cent-cinquante-mille environ à bord de négriers français. Il y avait, alors, plus de six-cent-cinquante-mille esclaves dans les colonies françaises de l’Atlantique et de l’océan Indien. Au cœur de cette période, la guerre de Sept Ans (1756-1763) s’étendit sur les océans où les deux principaux belligérants avaient des colonies. Les négociations qui débouchèrent sur le Traité de Paris eurent comme enjeu majeur, pour la France et la Grande-Bretagne le contrôle des « isles à sucre ».
Comment alors comprendre que parmi les 74 000 articles de l’Encyclopédie, moins d’une centaine concernent explicitement la question des traites négrières et de l’esclavage colonial (Voir tableau en annexe 2) ? L’analyse et la mise en relation de ces articles, de longueur et de portée très inégales, permettront de s’interroger sur les contradictions et les ambiguïtés des encyclopédistes, mais aussi de prendre en compte l’expression parfois fulgurante de principes anti-esclavagistes. Comme en témoigne, notamment, le cheminement de Diderot, les débats ouverts par la première édition de l’Encyclopédie ont contribué, lors de la décennie suivante à une radicalisation de la pensée anti-esclavagiste et à un enrichissement de son expression dans le débat public alors que la traite et l’exploitation du travail servile atteignaient des sommets jusqu’alors inégalés.

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Les serments politiques et religieux pendant la Révolution française   Notions

Marc Deleplace, Centre d’histoire du XIXe siècle (Paris-Sorbonne)

Le serment prêté par les membres d’une autorité constituée était bien connu de la monarchie française. Mais parce que manifestation d’allégeance à la personne du roi, il s’est trouvé fortement mis en cause, à la fin de l’Ancien régime, dans une perspective inspirée par les théories du droit naturel.
C’est pourtant par un serment (jeu de Paume, 20 juin 1789) que s’ouvre la Révolution. Cependant, cet acte inaugural en renouvelle profondément la nature. De manifestation d’allégeance à l’autorité publique, le serment devient acte collectif d’engagement réciproque entre jureurs égaux en droits. Le serment entre alors rapidement dans la geste révolutionnaire, sous deux formes complémentaires. D’une part, alors que le serment du 20 juin devait garantir la réalisation d’un mandat collectif précis, donner une constitution au royaume, le serment devient manifestation permanente, plus ou moins spontanée, d’adhésion aux principes de la Révolution, déclarés dès août 1789, et d’unité nationale, dans une dynamique où prestations nationales et locales se répondent constamment, à l’instar des serments des fédérations culminant dans la cérémonie parisienne du 14 juillet 1790. De l’autre, la Révolution invente une nouvelle forme de serment, éludant partiellement le caractère religieux originel de ce type d’engagement, bien qu’il s’applique en premier lieu aux membres du clergé, avec l’imposition du serment lié à la constitution civile du clergé (12 juillet 1790) puis avec le premier serment civique, prêté solennellement par le roi le 23 janvier 1791.

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Les Œuvres de Jean-Paul Marat en version epub sur Kindle   Outils

Jacques de Cock a réalisé la conversion de tous ses travaux sur Marat — y compris les 10 tomes des Œuvres — au format électronique epub. Cette édition électronique comprend :

- Les Cordeliers, ce sont les deux volumes disponibles sur TheBookEdition en format papier. Ils correspondent à l'Introduction du premier volume de l'édition originale et à l'ensemble du gros volume 2.
- Les 10 volumes des Ecrits de Marat sont regroupés en un fichier epub (les numéros de pages de l'édition papier son indiqués en gras et entre parenthèses). Cette édition comprend également le "Plan de législation criminelle" de 1790.
L'édition Kindle comprend également les "Guides de lecture" qui reprennent - l'histoire du journal de Marat, des imprimeurs, de la distribution, des saisies, des faux numéros...
- un volume sur la présentation (en rapport aux textes) des articulations de l'action politique de Marat de 1789 à 1793.
- un troisième avec ce que le guide désigne comme des "Arguments", les textes sur la pensée politique de Marat.

Par ailleurs, trois autres epub comprennent les écrits de Marat avant 1789 (disponible sur TheBookEdition en format papier et qui correspond à l'édition originale en un fort volume).

Tous les chercheurs s'intéressant à la Révolution française en général, et à Marat en particulier, se réjouiront de la possibilité d'accéder à tous ces travaux au format Kindle.

On peut les trouver ici.

L’État républicain, les services publics et les communs   Séminaire

Séminaire l'Esprit des Lumières et de la Révolution du 9 mars 2023.
Intervention de Thomas Perroud (Paris II) sur :
L’État républicain, les services publics et les communs.

À l’ombre des Lumières. Des manuels scolaires aux programmes de l’enseignement secondaire (1930-2010)   Enseignement

par Marc Deleplace, Centre d’histoire du XIXe siècle, Sorbonne Université

La position du problème

Poser la question de l’enseignement des Lumières en France au XXe et XXIe siècle, c’est définir des moyens pédagogiques, des finalités sociales. C’est aussi placer au cœur de notre réflexion la relation des Lumières aux « Révolutions atlantiques » (Godechot (1)), et plus particulièrement à la Révolution française, au monde contemporain enfin.
Pour l’objet, comme souvent en histoire, il requiert deux modes de définition : comme période et comme signification, les deux étant étroitement liés puisque le premier travail de l’historien est à la fois de délimiter et d’unifier (2). Signification et périodisation sont ainsi le geste premier à accomplir, le temps étant le « lieu d’intelligibilité de l’histoire (3)». Or, dans l’univers scolaire en tout cas, la seconde entraîne la première. De cette périodisation, toujours en discussion de fait, nous nous contenterons ici d’en retenir deux approches. La première est celle d’une périodisation « courte », qui assimile le temps des Lumières à celui du règne de Louis XV, ou peu s’en faut (4). La seconde interroge à la fois les décalages européens et « l’entremêlement des temporalités », pour reprendre une expression empruntée à Louis Althusser par Michel Vovelle (5). Dans le cadre scolaire, force est de constater que c’est le premier qui l’emporte. Encore qu’il ne faudrait sans doute pas se laisser abuser par la forme des programmes et des manuels jusqu’aux années 1970 (6).

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La Révolution française et les colonies   Annonces

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Quatrième de couverture et introduction de l'ouvrage de Marc Belisa, La Révolution française et les colonies, Paris, La Fabrique, 2023.

Quatrième de couverture :

En 1789, l’économie esclavagiste et la ségrégation raciale dominaient les colonies françaises en Amérique et dans l'Océan indien. En proclamant que les « hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits », la Révolution française contribue à faire exploser les tensions qui traversaient les sociétés coloniales.

« Terreur » des colons blancs esclavagistes, la Déclaration des droits de l’homme est une arme aux mains des « libres de couleurs » et des esclaves noirs qui se révoltent. À Saint-Domingue et en Guadeloupe, malgré les intrigues des défenseurs du « préjugé de couleur », de véritables révolutions s’accomplissent en interaction avec la dynamique révolutionnaire en Europe. C'est la rencontre entre les révolutions coloniales et les mouvements radicaux en métropole qui permet la proclamation de l'abolition de l'esclavage à Saint-Domingue en août 1793, puis le vote de l'abolition générale par la Convention en février 1794, accueilli avec ferveur dans le pays.

Ce livre déroule le fil qui court de la convocation des États généraux à la réaction coloniale menée par Bonaparte en 1800-1804 – empêchée à Saint-Domingue par la résistance acharnée des armées noires de Toussaint Louverture et Dessalines. Durant ces quinze années, les rapports sociaux, les identités « raciales » et politiques ont été bouleversés et les deux piliers de la société coloniale que sont la domination de la métropole et l’esclavage ont été remis en cause.

Alors que les débats sur la mémoire de l’esclavage et de la colonisation sont vifs, Marc Belissa fournit une indispensable synthèse historique d’une période où s’est levé le « vent commun » de l’émancipation qui a soufflé sur le monde.

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L'Esprit des Lumières et de la Révolution 2023-2024   Séminaire

Programme 2023-2024 du séminaire de recherche animé par Marc Belissa, Yannick Bosc, Marc Deleplace, Florence Gauthier et Suzanne Levin. Le séminaire se tiendra à distance, par visioconférences. Si vous souhaitez y participer, contactez-nous : redaction@revolution-francaise.net. Les séances se tiendront le jeudi de 18h à 20h.

- 2 et 3 Novembre, Colloque Natural Rights and Politics in the Early Modern Period, Scuola Superiore Meridionale (Naples).

- 7 décembre, Florence Gauthier (Paris Diderot), Les formes d'esclavage successives dans le Nouveau Monde. L'exemple des colonies françaises du XVIIe au XIXe siècles. Pour quelles raisons et quels objectifs, cette succession dans les formes de l'esclavage ?

- 18 Janvier, Emmanuel Faye (Rouen-Normandie), Koselleck, les Lumières et la Révolution française.

- 1er février, Marc Belissa (Paris-Ouest Nanterre), La Révolution française et les colonies.

- 14 mars, Marion Pouffary (Sorbonne Université), Robespierre : la légende noire anarchiste.

- 25 avril, Rémy Duthille (Bordeaux Montaigne), A ses risques et périls ? Célébrer la Révolution française de 1789 dans la Grande-Bretagne de Pitt.

- 16 mai, Eric Mesnard (Paris-Est Créteil), L’Encyclopédie de Diderot et d’Alembert, les traites négrières et l’esclavage colonial.

 

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