Figure 1 : La représentation la plus connue de la Déclaration de 1789.

Figure 2 : La cocarde tricolore emblème de la Constitution française.

Figure 3 : Estampe-médaille de Louis-Jean Allais célébrant la Constitution de 1793.

Figure 4 : La Déclaration symbolise la césure séparant les ténèbres de l’Ancien Régime féodal des lumières du Nouveau régime de la liberté.

Figure 5 : Le roi expliquant à son fils les droits de l'homme.

Figure 6 : Pour rendre hommage à la première Déclaration, le graveur Pierre Lélu imagine un obélisque s’élevant sur un soubassement orné d’une scène qui rappelle les Champs Élysées de l’ancienne Arcadie.

Figure 7 : Déclaration de 1793. Encadré par un niveau triangulaire, symbole d’égalité sociale et politique, et surveillé par l’Œil de la Vérité qui, lui, est entouré par le triangle équilatéral « Unité-Indivisibilité-Egalité », Hercule vérifie la stabilité d’un faisceau et confirme ainsi la devise inscrite sur le monument érigé à son côté : « Vincit concordia fratrum ».

Figure 8 : La Constituante sous la figure de la dévideuse patriotique.

Figure 9 : Déclaration de Louis XVI, le 4 février 1790. « La démarche faite par le roi vient de donner à la constitution un caractère sacré que sans doute elle avait déjà aux yeux des bons citoyens, mais que les aristocrates s’efforçoient de lui contester. » Gravure de François-Anne David.

Figure 10 : Le serment civique du roi au cours de la fête de la Fédération interprété comme un serment anticipé à la Constitution. Gravure de Benoît-Louis Prévost.

Figure 11 : Le serment constitutionnel du roi se réalise le 6 septembre 1791 au sein de l’Assemblée nationale.

Figure 12 : L’allégorie de la première Constitution remplace le monarque.

Figure 13 : La Constitution Française érigée sur les ruines du despotisme vaincu.

figure 14 : Inspection critique de la Constitution Francoise solennellement présentée par le roi en costume citoyen et par l’allégorie de la Nation portant le manteau royal. Eau-forte coloriée, publiée au printemps 1791.

figure 15 : La Constitution comme monstre dangereux.

figure 16 : Autour de la Constitution, le combat du républicain, du fanatisme et de la noblesse. Estampes de Philippe-Auguste Hennequin, gravée en été 1793.

figure 17 : La tyrannie révolutionnaire écrasée par les amis de la Constitution de l'an III. Gravure de Massol d’après François-Marie Queverdo.

figure 18 : La Constitution de l’an VIII. Représentation officieuse militarisée au détriment des symboles populaires, égalitaires et républicains.

figure 19 : Louis XVIII consultant Henri IV pour la Charte Constitutionnelle.

figure 20 : Gravure au pointillé intitulée "Le Roi et la Charte" par Pelicier d’après Bouisson, 1820.

figure 21 : Gravure allégorique de 1815 intitulée "La Constitution". La Charte fut plutôt un sujet d’affrontement entre les partis politiques ennemis.

figure 22 : La Charte ou le supplice d'un ultra dans les enfers.

figure 23 : la Charte sert de miroir à l’allégorie de la Vérité pour détourner l’assaut d’un moine et d’un aristocrate qui, inspirés par la lecture de La Quotidienne, s’efforcent de rétablir la dîme, les anciens privilèges et les droits féodaux.

figure 24 : Charles X, son chapelet à la main, saute sur la Charte et les attributs de la justice.

figure 25 : "La Charte sera désormais une vérité", 1830.

figure 26 : La nouvelle Charte attribuée au combat des barricades pour la liberté.

figure 27 : "Constitution neuvième et nouvelle édition revue, corrigée, augmentée, embellie, retapée, et remise à neuf", 1848.